Le numérique apporte de grands changements dans nos sociétés contemporaines.
Comme tout bouleversement non contrôlé, il peut être sources du meilleur comme du pire : domination des grandes plateformes, menaces sur les libertés et la vie privée, fake news, dégradation du lien social, déqualification du travail…
Notre appétence au progrès technologique et à l'amélioration de l'existant nous incite à repousser sans cesse les limites que nous considérions infranchissables (augmentation du nombre de calculs par seconde, des débits, des connexions...).
Au delà de nos usages, la production et le traitement de nos équipements numériques arrivés en fin de vie génèrent des impact environnementaux conséquents, que nous devons considérer.
Sommes-nous déjà arrivés aux limites de la 3G / 4G pour considérer une technologie encore plus rapide et performante? Les objets connectés vont-ils drastiquement améliorer notre qualité et confort de vie? Est-on satisfaits de recevoir chaque jour des dizaines de courriers indésirables qui sont supprimés sitôt que nous nous connectons à notre messagerie électronique? Quelles sont les limites à l'automatisation? Qu'attendons-nous de l'IA?
Nous devons définir clairement ce que nous attendons de nos outils numériques et la place que nous voulons leur donner dans nos sociétés modernes.
Afin de tendre vers un numérique responsable et durable, des alternatives se dessinent : économie de fonctionnalité, économie circulaire, lowtech, marché de l'occasion... etc.
Ces modèles alternatifs permettent de tendre vers un numérique plus écoresponsable, performant et attractif. Ils nécessitent cependant de nous interroger sur nos véritables besoins. Depuis les années 2000, nous repoussons les limites du progrès technologique parce que nous pouvons le faire. Nous sommes dans une course à l'innovation et "consommons" le numérique de manière totalement débridée. Au commencement de cette décennie 2020, nous souhaitons inverser la tendance et entrer dans une logique de progrès et d’innovation seulement si nous en avons besoin.
Afin de proposer une transformation du numérique à horizon 2022, la FING a impulsé le projet RESET, soutenu par l'AGIT et d'autres grand acteurs du digital et de la société civile.
Ce livret est la première brique d’un processus qui va durer 3 ans, processus qui permettra de définir le numérique que nous voulons plutôt qu’un numérique subi. Seul, c’est impossible. Ensemble, ça devient possible.
Bienvenue dans la dynamique #RESET2022
Pour aller plus loin sur ces enjeux, nous vous invitons également à consulter nos autres publications via l'Espace Ressources
Comme tout bouleversement non contrôlé, il peut être sources du meilleur comme du pire : domination des grandes plateformes, menaces sur les libertés et la vie privée, fake news, dégradation du lien social, déqualification du travail…
Notre appétence au progrès technologique et à l'amélioration de l'existant nous incite à repousser sans cesse les limites que nous considérions infranchissables (augmentation du nombre de calculs par seconde, des débits, des connexions...).
Au delà de nos usages, la production et le traitement de nos équipements numériques arrivés en fin de vie génèrent des impact environnementaux conséquents, que nous devons considérer.
5G, IoT, IA, Blockchain... de nouveaux usages apparaissent
Sommes-nous déjà arrivés aux limites de la 3G / 4G pour considérer une technologie encore plus rapide et performante? Les objets connectés vont-ils drastiquement améliorer notre qualité et confort de vie? Est-on satisfaits de recevoir chaque jour des dizaines de courriers indésirables qui sont supprimés sitôt que nous nous connectons à notre messagerie électronique? Quelles sont les limites à l'automatisation? Qu'attendons-nous de l'IA?
Nous devons définir clairement ce que nous attendons de nos outils numériques et la place que nous voulons leur donner dans nos sociétés modernes.
Des alternatives sont possibles
Afin de tendre vers un numérique responsable et durable, des alternatives se dessinent : économie de fonctionnalité, économie circulaire, lowtech, marché de l'occasion... etc.
Ces modèles alternatifs permettent de tendre vers un numérique plus écoresponsable, performant et attractif. Ils nécessitent cependant de nous interroger sur nos véritables besoins. Depuis les années 2000, nous repoussons les limites du progrès technologique parce que nous pouvons le faire. Nous sommes dans une course à l'innovation et "consommons" le numérique de manière totalement débridée. Au commencement de cette décennie 2020, nous souhaitons inverser la tendance et entrer dans une logique de progrès et d’innovation seulement si nous en avons besoin.
La FING publie la première brique du projet #RESET
Afin de proposer une transformation du numérique à horizon 2022, la FING a impulsé le projet RESET, soutenu par l'AGIT et d'autres grand acteurs du digital et de la société civile.
Ce livret est la première brique d’un processus qui va durer 3 ans, processus qui permettra de définir le numérique que nous voulons plutôt qu’un numérique subi. Seul, c’est impossible. Ensemble, ça devient possible.
Bienvenue dans la dynamique #RESET2022
Télécharger le cahier #RESET
Pour aller plus loin sur ces enjeux, nous vous invitons également à consulter nos autres publications via l'Espace Ressources