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REX : B-Corp - 1

Norsys

Effectif : entre 250 et 499 salariés

Année d’obtention : 2019

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Norsys

Effectif : entre 250 et 499 salariés
Implantation : France
Année d’obtention : 2019

Q1 : Quelles sont les raisons qui ont amené l’entreprise à se lancer dans cette démarche ?

« Nous nous sommes lancés dans cette démarche pour se frotter à un référentiel exigeant. »

Q2 : Sur la base de quels critères avez-vous choisi ce label en particulier ?


« Évaluation de l’impact du business model. »

Q3 : Quels sont les freins que vous avez rencontré pour initier la démarche ?

« Audit réalisé par une personne non francophone, mauvaise compréhension des spécificités françaises et SURTOUT non prise en compte de l’impact positif indirect pour une activité activité B2B. »

Q4 : Quelles ont été les ressources (humaines et financières) mobilisées pour répondre ?

« 2/3 personnes mobilisées pour la remontée d’info : DAF, DRH, DGUne dizaine de jour-homme de travail. »

Q5 : Quels bénéfices avez-vous observé ?

« Identification de sujets à prendre en main, une augmentation du niveau d’ambition sur d’autres sujets, et une communauté dynamique. »

Q6 : Suivez-vous des KPI pour évaluer les résultats de votre démarche ?

« Oui, indicateurs alignés avec notre raison d’être sur les impacts environnementaux notamment, mais aussi notre capacité à réaliser des projets utiles pour la société. »

Q7 : La démarche a-t-elle eu des conséquences sur vos relations avec vos parties prenantes ?

« Pas de conséquences notables, si ce n’est de faire émerger de nouvelles relations avec certaines parties prenantes, au service de l’intérêt général (clients, fournisseurs, société civile). »

Q8 : Quels sont les freins que avez rencontré depuis que vous avez initié la démarche ?

« À la différence de la majorité des B-corps qui font moins de 50 salariés, nous sommes 600. Dès lors, la mise en place de nouvelles politiques nécessite de considérer la conduite du changement, avec nos 9 implantations en France. Pour le reste, beaucoup de positif: identification de nouveaux sujets, réseaux d’entreprises super engagées, groupes de travail pour faire émerger de nouvelles idées.... »

Q9 : Suite à la démarche de labellisation, avez vous mis un plan d’améliorations en place ?

« Oui sur des sujets comme la gestion de nos impacts environnementaux. Globalement, nous avions déjà ce type de plan avec notre propre label interne de performance globale (200+ indicateurs sur nos impacts économiques, sociaux et sociétaux, répartis par partie prenante). »

Q10 : Renouvelez-vous le processus de labellisation régulièrement ?

« Non pas encore. »

Q11 : Dans quelle mesure avez-vous été amené à prendre en compte la maîtrise des impacts sociaux et environnementaux du numérique ?

« Au delà de B-corp, le travail sur notre raison d’être a été révélateur. Par notre métier, nous prenions largement en compte l’impact humain (nous sommes une ESN spécialisée dans le domaine de la santé notamment), mais moins les impacts environnementaux voire éthique. 

Depuis, nous avons initié une démarche Green IT, initié des projets en écoconception et avons créé notre conseil d’éthique pour faire émerger une culture à tous les niveaux de l’entreprise. Sur le Green IT : nous suivons de près les achats d’équipements, optimisons nos serveurs, supprimons les imprimantes, formons à la sobriété numérique... »
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